Iberismo e a dissolução de Portugal: ameaça real

  • 1344 Respostas
  • 336192 Visualizações
*

Pantera

  • Perito
  • **
  • 399
  • +2/-0
(sem assunto)
« Responder #405 em: Outubro 24, 2006, 08:47:55 am »
Citação de: "Luso"
Meus senhores, lá estão vocês com o Saramago.
Ele não é português, é um apátrida, um órfão de uma Moscovo desaparecida e de uma ideologia aberrante.
Levem-no. Fiquem com ele. Ficam com mais um Nobel.


concordo totalmente,ele que fique lá em espanha que cá não faz falta nenhuma,ou então que sofre o que o povo hungaro,por exemplo sofreu às mãos dos soviéticos,para ele sentir um pouco do perfume comunista

*

sierra002

  • Perito
  • **
  • 434
  • +0/-0
(sem assunto)
« Responder #406 em: Outubro 24, 2006, 09:56:14 am »
Luso dixo:
Citar
Obviamente que por mim o PT não é expulso. Melhor seria que os senhores espanhóis apresentassem os seus argumentos com outra serenidade e humildade, atributos muito apreciados nas visitas.
É por este motivo que saúdo e agradeço as contribuições que os espanhóis nos trazem. Mas não as polémicas que nos negam.

Estamos entendidos de uma vez por todas?

Excelente!


Haber si estamos entendidos de uma vez por todas. Yo no estoy de visita en este foro. En el momento en me registré acepté las normas que se me impusieron y se me aceptó como forista por lo cual soy miembro de pleno derecho. Lo que pido es que esas normas de obligado cumplimiento se cumplan. Los argumentos están presentados con claridad y son irrebatibles, si el foro no los acepta e imcumple sus normas entonces si que quedaré entendido de una vez por todas.

Por cierto, la denuncia por racismo y xenofobia a Paulo Mendonça ante as autoridades portuguesas está en marcha, veremos si no se llevan por delante también a este foro ante los pantallazos que adjunto.
 

*

manuel liste

  • Especialista
  • ****
  • 1032
  • +0/-0
(sem assunto)
« Responder #407 em: Outubro 24, 2006, 10:39:19 am »
Caro Sierra: te recomiendo la siguiente página:

Código Penal Português

Artículo 153º: Ameaça
Artículo 180º: Difamaçao
Artículo 181: Injúria
Artículo 183º: Publicidade e calúnia
Artículo 236º: Incitamento à guerra
Artículo 239º: Genocidio
Artículo 240º (muito recomendável): Discriminaçao racial ou religiosa.

Buena suerte  :D

Un enlace imprescindible para todo participante en este sitio: Policia Judiciária
 

*

Doctor Z

  • Analista
  • ***
  • 825
  • +1/-0
    • http://www.oliven
(sem assunto)
« Responder #408 em: Outubro 24, 2006, 04:14:23 pm »
Citação de: "Jose M."
Doctor Z escreveu: (na verçao antiga erre e dixe Luso por Doctor Z -minhas escusas, senhor Luso)


Citar
Pelo o que li no Quid francês (enciclopédia), há pelo o menos uma diferença
entre os bascos e os outros espanhoís : a maior parte deles têm o sangue
O+ e medem em média 1,70m (para os homens).

Por isso, nesse aspecto, há diferenças genéticas.

   Mido uno setenta, soy O+, ahí va la hostia pues, por eso que me gustan las kokotxas y el bacalao al pil pil. Patxi ponte unos txikitos y unos pintxos.

   Por lo menos no soy castellano, que son muy malos.

...................

   Lancero nao conhesco bem ao certo o credo politico do senhor Jose Saramago, mas creio que é um home tolerante com grande capacidade para escutar e grande capacidade de autocritica.

    Num presente onde todos cremos ter a raçao é precisso ter algum home que tenha duvidas.

   Abraço

Amigo José M., encontrei isto (em francês) noutro site, mas poderá
certamente encontrar esta informação em castelhano ou noutra lingua da
sua preferência :

Citar
Classification
Comme la langue basque, les Basques sont généralement considérés comme un groupe ethnique isolé et unique. Ils sont d'une part culturellement, plus spécifiquement, linguistiquement distincts des populations environnantes, et, d'autre part, génétiquement distincts aussi. Les recherches génétiques faites sur des populations basques se basent sur des corrélations entre des événements historiques, archéologiques et des techniques de description des gènes.

Elle est souvent interprétée avec des intentions politiques. Par exemple, du côté espagnol, les autorités ont minimisé parfois les études existantes sur la génétique basque. En Europe, il existe une homogénéité des peuples selon l’arbre génétique, mais seuls 4 peuples se distinguent du reste des populations européennes : les Sardes, les Lapons, les Islandais et les Basques. Il y a des explications historiques et linguistiques pour ces peuples qui diffèrent des Basques. De nombreuses études sont actuellement faites au Pays basque afin d’étudier ce phénomène génétique car de grands brassages génétiques se font avec les français et les espagnols depuis 50 ans et rendent la sélection des sujets plus restreinte.
Les domaines de recherche se concentrent sur la recherche génétique, l'hématologie et la myopathie. Outre l’hématologie, des 4 outils qui sont utilisés pour déterminer les différences génétiques, deux sont à l’origine de différenciation des Basques avec leurs voisins. C'est la sélection naturelle qui permet à des caractères génétiques d’augmenter selon le milieu, et la dérive génétique qui permet à des gènes d’augmenter ou de diminuer de fréquence. Les deux autres outils, qui sont les mélanges de population qui augmentent la diversité génétique, et les mutations où les séquences d’ADN qui engendrent des changements de l’hérédité, sont peu utilisés dans cette différenciation.

Génétique
Tous les êtres humains sont semblables à 99.99% au niveau génétique, on parlera donc de variabilité génétique des Basques sur 0.01%. En 1996, Hazout et Lucotte ont étudié l'ADN du chromosome Y, que possède les mâles uniquement, pour conclure que la fréquence de certains segments diffèrent de leurs voisins. Par exemple, un polymorphisme (gradient de la fréquence de l’allèle 8 kb), présent dans les populations d'Europe occidentale est pratiquement absent dans les populations basques.Cependant, l’haplotype Ht 15, considéré comme un haplotype proto-européen, a sa fréquence la plus élevée en Europe occidentale et 60 % de la population basque le possède.
D'autres études ont démontré que les Basques possèdent le plus haut taux de fréquences génétiques du marqueur M173, qui correspondent à la jonction des peuplades européennes et asiatiques il y a 30 000 ans, et du marqueur M170 originaires du Moyen-Orient.
La première trace laissée par ces populations est la “ Dame de Brassempouy ”, du nom du village des Landes (statuette en ivoire d’une femme) qui prouve l’existence humaine il y a environ 25 000 ans dans cette partie de l’Europe. Quand une nouvelle glaciation a envahi l’Europe il y a 18 000 ans, la région de la Cantabrie et pyrénéenne fut propice à la survie des peuplades par la douceur du climat. Elles se redisperseront plus tard dans toute l’Europe quand le climat deviendra plus favorable à une migration, c'est à dire il y a 10 000 ans. À cette même période, une vague de néolithisation qui correspond à la venue de l’agriculture du Moyen-Orient se répandit dans toute l'Europe mais elle n'arriva au Pays basque que 5 000 ans plus tard (preuve fournie par la datation de germes de blé). La carence en fer des Européens, excepté des Basques, qui indique la faible consomation de viande des populations sédentarisées, démontre aussi que ses derniers ont continué à vivre de cueillette et de chasse sur 250 générations et pourquoi les sites paléolithiques sont si nombreux. La question est maintenant de savoir pourquoi les Basques ont mis 5000 ans de plus que leurs voisins avant de se sédentariser.
Autres indices : Les Basques ont le plus grand nombre de marqueurs H et V, transmis par l’ADN mitochondrial, et qui correspond à la repopulation de l’Europe à partir du Pays basque actuel. Les Basques sont donc sans aucun doute les descendants des premières peuplades venues du Moyen-Orient durant la période paléolithique. Leurs caractères génétiques prouvent leur présence avant l’arrivée des peuples indo-européens qui forment 850 millions d'habitants, soit 99,5% des Européens aujourd’hui, les indo-européens ayant au fil des siècles conquis ou assimilé les populations autochtones.

Linguistique versus génétique
Si l’on regarde le tableau[1] du généticien L. Cavalli-Sforza sur sa classification génétique des peuples vis à vis des langues, on constate que si le tableau génétique remonte à un départ unique, il en est tout autrement pour les langues. L'origine des langues est multiple alors que l'origine des gènes est unique. Mais, encore une fois les Basques se distinguent sur la carte comparant la langue basque versus la génétique européenne, par de grandes similitudes. Les corrélations trouvées entre la linguistique et la génétique rassemblent des données et forment un schéma idéal pour l'étude des Basques.
En 2002, P. Forster étudia l'ADN, qu'il nomma ADN Vascon, de l'ovocyte de la mère pour conclure qu'il serait apparut il y a 15 000 ans et se serait dispersé pendant le réchauffement climatique et cela confortait l'hypothèse que les Basques étaient faiblement sédentarisés durant son expension au paléolithique.

Hématologie géographique
Aujourd'hui, des relations étroites sont établies entre l'hématologie, la géographie et l'histoire. Des investigations hématologiques sur les types basques de sang ont constaté qu'il y a bien plus de Basques avec le type de sang de O que dans la population européenne générale, et la plus faible fréquence au groupe B (3 %), ce qui démontre le faible mélange avec les peuples venues d’Asie. Ils auraient donc conservé les caractères d'une population européenne primitive mélangé ultérieurement aux immigrants venus d'Asie. Les Basques ont également une chance inférieure d'être du type AB que le reste des Européens. Les Basques ont aussi une proportion élevée de rhésus du type négatif dans le sang. 27% des Basques ont un sang de type O et à Rh négatif. Le rhésus négatif peut empoisonner un fœtus qui a un rhésus positif. Il est prouvé que durant des centaines d’années, le taux de fausses couches et d’enfants mort-nés était extrêmement élevé chez les Basques, en comparaison avec d'autres populations.
Concernant le groupe sanguin antigène Duffy, le gène FY*A y est largement plus faible que pour les autres peuples européens. Le facteur V Leiden ainsi que le facteur XI, qui sont deux anomalies génétiques de la coagulation du sang, sont inexistants chez les Basques (jusqu’à 7% chez les autres peuples européens pour le premier facteur). Le facteur XI, qui favorise les thromboses veineuses, est chez les Basques le plus faible au monde après les populations endogames que sont les Juifs ashkénazes et les Palestiniens.

Myopathie
La myopathie est une maladie génétique qui se retrouve en forte concentration dans la région de Deba et sur les deux côtés de la Bidassoa. Cet épiphénomène est extrêmement rare mais on le trouve aussi chez les Amish ou à l’île de la Réunion. La consanguinité favorise la survenue de maladies récessives dans des communautés isolées. La recherche de solutions et les thérapies sur la myopathie se concentrent beaucoup au Pays basque.

- Malgrè tout, il reste à préciser la relation entre les populations Homo sapiens neandertalensis et sapiens et l'origine du peuple basque. De plus, de nombreux scientifiques, généticiens, anthropologues et linguistes mettent leurs travaux en commun avec le projet HIPVAL (Histoire des populations et variation linguistique dans les Pyrénées de l'Ouest) afin d'amener des réponses à la question basque depuis le néolithique


Fonte

Nota : o texto sobrecarregado é da minha autoría.

Boa leitura.
« Última modificação: Outubro 24, 2006, 04:39:36 pm por Doctor Z »
Blog Olivença é Portugal
"Se és Alentejano, Deus te abençoe...se não
és, Deus te perdoe" (Frase escrita num azulejo
patente ao público no museu do castelo de
Olivença).

:XpõFERENS./
 

*

papatango

  • Investigador
  • *****
  • 8231
  • Recebeu: 1327 vez(es)
  • +6487/-1393
(sem assunto)
« Responder #409 em: Outubro 24, 2006, 04:21:21 pm »
Senhor Manuel Liste.

Na minha qualidade de simples participante deste fórum, tendo em consideração as afirmações feitas contra a minha pessoa, nomeadamente alegações sobre a minha vida privada, que foram aqui proferidas por participantes espanhóis, creio que teriamos muito mais razões para levar alguns dos espanhóis neste fórum perante a barra dos tribunais.

A sua alegação de que se deve recorrer à justiça, contra os participantes deste fórum, é de mau gosto, mas mostra a verdadeira cara dos neonazis que como o senhor andam pelos fórums na Internet.

Vemos no entanto, no post do Manuel Liste, a verdadeira cara da Espanha.

Não conseguindo calar as pessoas.
Não conseguindo apresentar um único argumento minimamente válido.
Percebendo que estão a tornar a presença de espanhóis neste fórum, impossível, por causa do mau ambiente que criaram, resolve mostrar a cara.

Esse será o futuro dos portugueses, que ainda resistirem depois do dia em que os ibéristas aceitarem a criação da "Iberia Hispana" para conseguir um melhor salário.

Seremos acusados de traidores.
Seremos acusados de mentirosos.
Seremos acusados de terroristas.
Seremos acusados de estar a reescrever a história.

Esse é o futuro que os castelhanos nos reservam, quando não nos comportamos e quando mostramos os dentes a suas majestades.

Esta é a tolerância que os espanhóis demonstram para com, Portugal e para com os portugueses.

Eles querem que nos transformemos em espanholitos bonitos, guapitos, caracolitos, e acima de tudo, obedientitos especialmente como los galeguitos.

E quem não se submeter, acusa-se de terrorista ou de criminoso, ou outra coisa qualquer.

Esta é a verdadeira cara da Espanha castelhana.

Obrigado Manuel Liste, por me ter facilitado a vida. Era exactamente isso que eu pretendia demonstrar.

Quando não se tem a força da razão, recorre-se à razão da força.
É muito mais fácil enganar uma pessoa, que explicar-lhe que foi enganada ...
Contra a Estupidez, não temos defesa
https://shorturl.at/bdusk
 

*

Lancero

  • Investigador
  • *****
  • 4217
  • Recebeu: 88 vez(es)
  • +74/-5
(sem assunto)
« Responder #410 em: Outubro 24, 2006, 04:34:52 pm »
Eu também gosto do Código Penal.

Citar
SECÇÃO I
Dos crimes contra a soberania nacional

SUBSECÇÃO I
Dos crimes contra a independência e a integridade nacionais

Artigo 308º
Traição à pátria

Quem, por meio de violência, ameaça de violência, usurpação ou abuso de funções de soberania:
a) Tentar separar da Mãe-Pátria, ou entregar a país estrangeiro ou submeter à soberania estrangeira, todo o território português ou parte dele; ou
b) Ofender ou puser em perigo a independência do País;
é punido com pena de prisão de 10 a 20 anos.

Artigo 309º
Serviço militar em forças armadas inimigas

1 - Quem, sendo português, tomar armas debaixo de bandeira de nação estrangeira contra Portugal é punido com pena de prisão de 5 a 15 anos.
2 - Se, antes das hostilidades ou da declaração de guerra, o agente estiver ao serviço de Estado inimigo com autorização do Governo Português, a pena pode ser especialmente atenuada.
3 - Não é punível quem, estando em território de Estado inimigo antes da declaração de guerra ou das hostilidades, for forçado pelas leis militares desse Estado a tomar armas debaixo de bandeira estrangeira contra Portugal.

Artigo 310º
Inteligências com o estrangeiro para provocar guerra

1 - Quem tiver inteligências com governo de Estado estrangeiro, com partido, associação, instituição ou grupo estrangeiro, ou com algum agente seu, com intenção de promover ou provocar guerra ou acção armada contra Portugal, é punido com pena de prisão de 5 a 15 anos.
2 - Se à conduta descrita no número anterior se não seguir o efeito nele previsto, o agente é punido com pena de prisão de 3 a 10 anos.

Artigo 311º
Prática de actos adequados a provocar guerra

1 - Quem, sendo português, ou estrangeiro ou apátrida residindo ou encontrando-se em Portugal, praticar actos não autorizados pelo Governo Português e adequados a expor o Estado Português a declaração de guerra ou a acção armada é punido com pena de prisão de 3 a 10 anos.
2 - Se à conduta descrita no número anterior se não seguir o efeito nele previsto, o agente é punido com pena de prisão até 2 anos.

Artigo 312º
Inteligências com o estrangeiro para constranger o Estado Português

1 - Quem tiver inteligências com governo de Estado estrangeiro, com partido, associação, instituição ou grupo estrangeiro ou com agente seu, com intenção de constranger o Estado Português a:
a) Declarar a guerra;
b) Não declarar ou não manter a neutralidade;
c) Declarar ou manter a neutralidade; ou
d) Sujeitar-se a ingerência de Estado estrangeiro nos negócios portugueses adequada a pôr em perigo a independência ou a integridade de Portugal;
é punido com pena de prisão de 2 a 8 anos.
2 - Quem, com a intenção referida no número anterior, publicamente fizer ou divulgar afirmações que sabe serem falsas ou grosseiramente deformadas é punido com pena de prisão até 5 anos.
3 - Quem, directa ou indirectamente, receber ou aceitar promessa de dádiva para facilitar ilegítima ingerência estrangeira nos negócios portugueses, adequada a pôr em perigo a independência ou a integridade de Portugal, é punido com pena de prisão até 5 anos.

Artigo 313º
Ajuda a forças armadas inimigas

1 - Quem, sendo português, ou estrangeiro ou apátrida residindo ou encontrando-se em Portugal, em tempo de guerra ou de acção armada contra Portugal, com intenção de favorecer ou de ajudar a execução de operações militares inimigas contra Portugal, ou de causar prejuízo à defesa militar portuguesa, tiver com o estrangeiro, directa ou indirectamente, entendimentos ou praticar actos com vista aos mesmos fins é punido com pena de prisão de 5 a 15 anos.
2 - Se os fins referidos no número anterior não forem atingidos ou o prejuízo for pouco significativo, o agente é punido com pena de prisão de 1 a 8 anos.

Artigo 314º
Campanha contra esforço de guerra

Quem, sendo português, ou estrangeiro ou apátrida residindo ou encontrando-se em Portugal, fizer ou reproduzir publicamente, em tempo de guerra, afirmações que sabe serem falsas ou grosseiramente deformadas, com intenção de impedir ou perturbar o esforço de guerra de Portugal ou de auxiliar ou fomentar operações inimigas, é punido com pena de prisão de 1 a 5 anos.

Artigo 315º
Sabotagem contra a defesa nacional

1 - Quem prejudicar ou puser em perigo a defesa nacional, destruindo, danificando ou tornando não utilizáveis, no todo ou em parte, mesmo que temporariamente, obras militares ou materiais próprios das Forças Armadas ou ainda vias ou meios de comunicação, transmissão ou transporte, estaleiros, instalações portuárias, fábricas ou depósitos, é punido com pena de prisão de 3 a 10 anos.
2 - Quem, com intenção de praticar actos previstos no número anterior, importar, fabricar, guardar, comprar, vender, ceder ou adquirir por qualquer título, distribuir, transportar, detiver ou usar arma proibida, engenho ou substância explosiva ou capaz de produzir explosão nuclear, radioactiva ou própria para fabricação de gás tóxico ou asfixiante, é punido com pena de prisão de 2 a 8 anos.

Artigo 316º
Violação de segredo de Estado

1 - Quem, pondo em perigo interesses do Estado Português relativos à independência nacional, à unidade e à integridade do Estado ou à sua segurança interna e externa, transmitir, tornar acessível a pessoa não autorizada, ou tornar público facto ou documento, plano ou objecto que devem, em nome daqueles interesses, manter-se secretos é punido com pena de prisão de 2 a 8 anos.
2 - Quem destruir, subtrair ou falsificar documento, plano ou objecto referido no número anterior, pondo em perigo interesses no mesmo número indicados, é punido com pena de prisão de 2 a 8 anos.
3 - Se o agente praticar facto descrito nos números anteriores violando dever especificamente imposto pelo estatuto da sua função ou serviço, ou da missão que lhe foi conferida por autoridade competente, é punido com pena de prisão de 3 a 10 anos.
4 - Se o agente praticar por negligência os factos referidos nos nºs 1 e 2, tendo acesso aos objectos ou segredos de Estado em razão da sua função ou serviço, ou da missão que lhe foi conferida por autoridade competente, é punido com pena de prisão até 3 anos.

Artigo 317º
Espionagem

1 - Quem:
a) Colaborar com governo, associação, organização ou serviço de informações estrangeiros, ou com agente seu, com intenção de praticar facto referido no artigo anterior; ou
b) Recrutar, acolher ou receber agente que pratique facto referido no artigo anterior ou na alínea anterior, ou, de qualquer modo, favorecer a prática de tal facto;
é punido com pena de prisão de 3 a 10 anos.
2 - Se o agente praticar facto descrito no número anterior violando dever especificamente imposto pelo estatuto da sua função ou serviço, ou da missão que lhe foi conferida por autoridade competente, é punido com pena de prisão de 5 a 15 anos.

Artigo 318º
Meios de prova de interesse nacional

1 - Quem falsificar, subtrair, destruir, inutilizar, fizer desaparecer ou dissimular meio de prova sobre facto referente a relações entre Portugal e Estado estrangeiro ou organização internacional, adequado a pôr em perigo direitos ou interesses nacionais, é punido com pena de prisão de 1 a 8 anos.
2 - Se a acção se traduzir em arrancar, deslocar, colocar falsamente, tornar irreconhecível ou, de qualquer modo, suprimir marcos, balizas ou outros sinais indicativos dos limites do território português o agente é punido com pena de prisão até 3 anos.

Artigo 319º
Infedilidade diplomática

1 - Quem, representando oficialmente o Estado Português, com intenção de provocar prejuízo a direitos ou interesses nacionais:
a) Conduzir negócio de Estado com governo estrangeiro ou organização internacional; ou
b) Perante eles assumir compromissos sem para isso estar devidamente autorizado em nome de Portugal;
é punido com pena de prisão de 1 a 8 anos.
2 - O procedimento criminal depende de participação do Governo Português.

Artigo 320º
Usurpação de autoridade pública portuguesa

Quem, em território português, com usurpação de funções, exercer, a favor de Estado estrangeiro ou de agente deste, acto privativo de autoridade pública portuguesa é punido com pena de prisão até 5 anos, se pena mais grave lhe não couber por força de outra disposição legal.

(Redacção da Lei nº 65/98, de 2 de Setembro)
"Portugal civilizou a Ásia, a África e a América. Falta civilizar a Europa"

Respeito
 

*

Cabeça de Martelo

  • Investigador
  • *****
  • 23154
  • Recebeu: 4101 vez(es)
  • Enviou: 2870 vez(es)
  • +2698/-4485
(sem assunto)
« Responder #411 em: Outubro 24, 2006, 04:36:09 pm »
Não stressem pá! Não vale a pena!!!
7. Todos os animais são iguais mas alguns são mais iguais que os outros.

 

*

Lancero

  • Investigador
  • *****
  • 4217
  • Recebeu: 88 vez(es)
  • +74/-5
(sem assunto)
« Responder #412 em: Outubro 24, 2006, 04:38:23 pm »
Citar
SECÇÃO II
Dos crimes contra a realização do Estado de direito

Artigo 325º
Alteração violenta do Estado de direito

1 - Quem, por meio de violência ou ameaça de violência, tentar destruir, alterar ou subverter o Estado de direito constitucionalmente estabelecido é punido com pena de prisão de 3 a 12 anos.
2 - Se o facto descrito no número anterior for praticado por meio de violência armada, o agente é punido com pena de prisão de 5 a 15 anos.
3 - No caso previsto no número anterior a pena é especialmente atenuada se o agente, não tendo exercido funções de comando, se render sem opor resistência, ou entregar ou abandonar as armas antes ou imediatamente depois de advertência da autoridade.

Artigo 326º
Incitamento à guerra civil ou à alteração violenta do Estado de direito

1 - Quem publicamente incitar habitantes do território português ou forças militares, militarizadas ou de segurança ao serviço de Portugal à guerra civil ou à prática da conduta referida no artigo anterior é punido com pena de prisão de 1 a 8 anos.
2 - Se o facto descrito no número anterior for acompanhado de distribuição de armas, o agente é punido com pena de prisão de 5 a 15 anos.

Artigo 327º
Atentado contra o Presidente da República

1 - Quem atentar contra a vida, a integridade física ou a liberdade do Presidente da República ou de quem constitucionalmente o substituir é punido com pena de prisão de 5 a 15 anos, se pena mais grave lhe não couber por força de outra disposição legal.
2 - Em caso de consumação do crime contra a vida, a integridade física ou a liberdade, o agente é punido com a pena correspondente ao crime praticado agravada de um terço nos seus limites mínimo e máximo.

Artigo 328º
Ofensa à honra do Presidente da República

1 - Quem injuriar ou difamar o Presidente da República, ou quem constitucionalmente o substituir é punido com pena de prisão até 3 anos ou com pena de multa.
2 - Se a injúria ou a difamação forem feitas por meio de palavras proferidas publicamente, de publicação de escrito ou de desenho, ou por qualquer meio técnico de comunicação com o público, o agente é punido com pena de prisão de 6 meses a 3 anos ou com pena de multa não inferior a 60 dias.
3 - O procedimento criminal cessa se o Presidente da República expressamente declarar que dele desiste.

Artigo 329º
Sabotagem

Quem destruir, impossibilitar o funcionamento ou desviar dos seus fins normais, definitiva ou temporariamente, total ou parcialmente, meios ou vias de comunicação, instalações de serviços públicos ou destinadas ao abastecimento e satisfação de necessidades vitais da população, com intenção de destruir, alterar ou subverter o Estado de direito constitucionalmente estabelecido, é punido com pena de prisão de 3 a 10 anos.

Artigo 330º
Incitamento à desobediência colectiva

1 - Quem, com intenção de destruir, alterar ou subverter pela violência o Estado de direito constitucionalmente estabelecido, incitar, em reunião pública ou por qualquer meio de comunicação com o público, à desobediência colectiva de leis de ordem pública, é punido com pena de prisão até 2 anos ou com pena de multa até 240 dias.
2 - Na mesma pena incorre quem, com a intenção referida no número anterior, publicamente ou por qualquer meio de comunicação com o público:
a) Divulgar notícias falsas ou tendenciosas susceptíveis de provocar alarme ou inquietação na população;
b) Provocar ou tentar provocar, pelos meios referidos na alínea anterior, divisões no seio das Forças Armadas, entre estas e as forças militarizadas ou de segurança, ou entre qualquer destas e os órgãos de soberania; ou
c) Incitar à luta política pela violência.

Artigo 331º
Ligações com o estrangeiro

Quem, com intenção de destruir, alterar ou subverter pela violência o Estado de direito constitucionalmente estabelecido, se puser em ligação com governo de Estado estrangeiro, com partido, associação, instituição ou grupo estrangeiro ou com algum dos seus agentes para:
a) Receber instruções, directivas, dinheiro ou valores; ou
b) Colaborar em actividades consistindo:
I) Na recolha, preparação ou divulgação pública de notícias falsas ou grosseiramente deformadas;
II) No aliciamento de agentes ou em facilitar aquelas actividades, fornecendo local para reuniões, subsidiando-as ou fazendo a sua propaganda;
III) Em promessas ou dávidas; ou
IV) Em ameaçar outra pessoa ou utilizar fraude contra ela;
é punido com pena de prisão até 5 anos, se pena mais grave lhe não couber por força de outra disposição legal.

Artigo 332º
Ultraje de símbolos nacionais e regionais

1 - Quem publicamente, por palavras, gestos ou divulgação de escrito, ou por meio de comunicação com o público, ultrajar a República, a bandeira ou o hino nacionais, as armas ou emblemas da soberania portuguesa, ou faltar ao respeito que lhes é devido, é punido com pena de prisão até 2 anos ou com pena de multa até 240 dias.
2 - Se os factos descritos no número anterior forem praticados contra as Regiões Autónomas, as bandeiras ou hinos regionais, ou os emblemas da respectiva autonomia, o agente é punido com pena de prisão até um ano ou com pena de multa até 120 dias.

Artigo 333º
Coacção contra órgãos constitucionais

1 - Quem, por violência ou ameaça de violência, impedir ou constranger o livre exercício das funções de órgão de soberania ou de ministro da República é punido com pena de prisão de 1 a 8 anos, se pena mais grave lhe não couber por força de outra disposição legal.
2 - Se os factos descritos no número anterior forem praticados contra órgão de governo próprio das Regiões Autónomas, o agente é punido com pena de prisão de 1 a 5 anos, se pena mais grave lhe não couber por força de outra disposição legal.
3 - Se os factos descritos no nº 1 forem praticados contra órgão de autarquia local, o agente é punido com pena de prisão até 3 anos.
4 - Se os factos descritos no nº 1 forem praticados:
a) Contra membro de órgão referido no nº 1, o agente é punido com pena de prisão até 5 anos;
b) Contra membro de órgão referido no nº 2, o agente é punido com pena de prisão até 3 anos;
c) Contra membro de órgão referido no nº 3, o agente é punido com pena de prisão até 2 anos.

Artigo 334º
Perturbação do funcionamento de órgão constitucional

Quem, com tumultos, desordens ou vozearias, perturbar ilegitimamente:
a) O funcionamento de órgão referido no nº 1 ou no nº 2 do artigo anterior, não sendo seu membro, é punido, respectivamente, com pena de prisão até 3 anos, ou com pena de prisão até 1 ano;
b) O exercício de funções de pessoa referida no nº 4 do artigo anterior é punido com pena de prisão até 2 anos no caso da alínea a) ou com pena de prisão até 6 meses no caso da alínea b).

Artigo 335º
Tráfico de influência

1 - Quem, por si ou por interposta pessoa, com o seu consentimento ou ratificação, solicitar ou aceitar, para si ou para terceiro, vantagem patrimonial ou não patrimonial, ou a sua promessa, para abusar da sua influência, real ou suposta, junto de qualquer entidade pública, é punido:
a) Com pena de prisão de 6 meses a 5 anos, se pena mais grave lhe não couber por força de outra disposição legal, se o fim for o de obter uma qualquer decisão ilícita favorável;
b) Com pena de prisão até 6 meses ou com pena de multa até 60 dias, se pena mais grave lhe não couber por força de outra disposição legal, se o fim for o de obter uma qualquer decisão lícita favorável.
2 - Quem, por si ou por interposta pessoa, com o seu consentimento ou ratificação, der ou prometer vantagem patrimonial ou não patrimonial às pessoas referidas no número anterior para os fins previstos na alínea a) é punido com pena de prisão até 3 anos ou com pena de multa.
( Redacção da L 108/2001 de 28 de Novembro )
"Portugal civilizou a Ásia, a África e a América. Falta civilizar a Europa"

Respeito
 

*

Lancero

  • Investigador
  • *****
  • 4217
  • Recebeu: 88 vez(es)
  • +74/-5
(sem assunto)
« Responder #413 em: Outubro 24, 2006, 04:39:32 pm »
Ó Cabeça de Martelo, não. Isto é só informação pública. c34x
"Portugal civilizou a Ásia, a África e a América. Falta civilizar a Europa"

Respeito
 

*

Doctor Z

  • Analista
  • ***
  • 825
  • +1/-0
    • http://www.oliven
(sem assunto)
« Responder #414 em: Outubro 24, 2006, 04:46:37 pm »
Citação de: "Lancero"
Ó Cabeça de Martelo, não. Isto é só informação pública. :mrgreen:
Blog Olivença é Portugal
"Se és Alentejano, Deus te abençoe...se não
és, Deus te perdoe" (Frase escrita num azulejo
patente ao público no museu do castelo de
Olivença).

:XpõFERENS./
 

*

garrulo

  • Perito
  • **
  • 531
  • +0/-0
(sem assunto)
« Responder #415 em: Outubro 24, 2006, 04:52:27 pm »
Recurrir a los tribunales portugueses les parece la razon de la fuerza?
¿TAN POCO CONFIAN EN LA LEY Y SU JUSTICIA?
les da miedo la ley, se puede presumir que ,a quien eso pasa es un delincuente.
España tiene el 107% de la renta de la UE, Portugal el 75%, entramos al mismo tiempo. No seremos tan tontos.
 

*

Lancero

  • Investigador
  • *****
  • 4217
  • Recebeu: 88 vez(es)
  • +74/-5
(sem assunto)
« Responder #416 em: Outubro 24, 2006, 05:30:56 pm »
Citar
Noticias de Portugal  
ANDRÉS DE BLAS GUERRERO
EL PAÍS  -  Opinión - 24-10-2006
La encuesta de la revista portuguesa que pone de relieve la existencia de un significativo número de portugueses interesados en la construcción de la unidad ibérica, ha causado sorpresa en la opinión española. El iberismo ha sido visto, con fundamento, como un fenómeno del siglo XIX, íntimamente ligado al colapso de los imperios americanos y a una revolución liberal que permitió que la integración ibérica rivalizara en el escenario europeo con los proyectos de unificación de Alemania e Italia. El siglo XX conocería la crisis de un ideal iberista que si en España tendría cultivadores, en Portugal daría paso a una afirmación de su Estado, empeñado en ver en España, pese al desmentido de unas pacíficas relaciones históricas, el potencial enemigo a su soberanía. El indicio de la recuperación del sentimiento iberista en Portugal en los inicios del siglo XXI pone de manifiesto que la empresa española sigue teniendo un crédito del que la influencia de nuestros nacionalismos periféricos nos ha hecho dudar en algún momento. Lo cierto es que la nación española ha mostrado en el último tercio del siglo XX una vitalidad que apenas puede ser puesta en cuestión por los debates impulsados por los sectores de opinión de propensión secesionista presentes en la vida española.

Son tres los pilares sobre los que se asienta el éxito de España en este último periodo de nuestra historia. Nuestro país supo, en primer lugar, llevar a cabo un proceso de transición exitoso y eficaz del régimen dictatorial a la democracia. Contra los pronósticos pesimistas presentes en el inicio de esa transición, en el momento del cambio la sociedad española desplegó manifestaciones de madurez, de moderación, de buen sentido, que permitieron en relativamente poco tiempo el restablecimiento de la democracia entre nosotros. Con independencia del reconocimiento debido a los agentes políticos de esta transición, hay que recordar que fue la sociedad española la que impuso las pautas que hicieron posible un cambio pacífico y sin traumas. En pocos momentos de nuestra vida política reciente se ha gobernado con tanta atención y provecho a las indicaciones de la opinión pública. Una vez recuperada nuestra historia liberal-democrática, y una vez incorporados a un proceso de construcción europea que había sido una bandera recurrente de nuestra tradición reformadora, España ha llevado adelante un proceso de reformas económicas y sociales que nos han llevado a nuestra situación actual. El buen negocio que ha supuesto nuestra restablecida democracia es hoy un dato indiscutido dentro y fuera de España. En paralelo a este éxito económico y social, y en coexistencia con un proceso de reforma de la planta política del Estado sin precedentes en nuestra historia contemporánea, la sociedad española ha vivido un proceso de densificación de sus relaciones culturales, sociales y vitales inigualable en el conjunto de nuestra historia. España es hoy una realidad sentida cotidianamente por el grueso de los españoles. Nunca nos habíamos conocido tan intensamente. Nunca los españoles habíamos tenido un conocimiento tan directo de los paisajes y los hombres de nuestra nación como actualmente tenemos. Nunca nuestra sociedad había estado tan imbricada en una perspectiva económica, social y cultural. A medida que en la esfera política aumentaba el debate sobre nuestra condición nacional y sobre la viabilidad del Estado común, mi impresión es que la nación se ha hecho paradójicamente más densa, más real, en la vida cotidiana de los españoles.

No es extraño que en estas circunstancias, un sentimiento filoespañol tome cuerpo en la sociedad portuguesa. España ha puesto de manifiesto su capacidad para impulsar la modernización económica y social con el respeto a un pluralismo cultural y político del que es garante la Constitución de 1978. Y así un sector de la opinión portuguesa contempla la hipótesis de su unión con España sin temor a los riesgos de una absorción cultural y lingüística que tanto peso pudieron tener en el pasado.

En ese pasado, el catalanismo político manejó la hipótesis del "premio portugués" como acicate para la aceptación de sus proyectos de reformulación de la planta política del Estado. Se trató de una táctica política paralela a la de la generalización de las demandas autonomistas en el conjunto de España como garantía para la construcción de un espacio político catalán. Consumada la reforma territorial de nuestro Estado, hoy se trata de proyectos políticos sin futuro. El que sí lo tiene, es el mensaje derivado de la opinión de un sector de la opinión portuguesa. Se trata del mensaje de confianza en una España integrada en la vida europea como marco confortable para el futuro económico, social y político de la gran mayoría de los españoles. Suponiendo que la manifestación de este sector de la opinión portuguesa no se concrete en nada, quedará, sin embargo, lo que la misma significa de confianza en una nación española como comunidad política capaz de seguir prestando importantes servicios al Estado y a la sociedad de los españoles. La conclusión que se deriva de este renacer del sentimiento iberista en Portugal es la confirmación de que un Estado en buena ventura será siempre capaz de integrar las eventuales tensiones secesionistas en el conjunto español.

La sociedad española, insisto que con independencia de que el pronunciamiento de este sector de la opinión portuguesa no se concrete en decisiones políticas, tiene en él un buen motivo de agradecimiento a Portugal. Estamos ante un país hermano, encantador, que a los ciudadanos españoles nos recuerda por tantos conceptos al País Vasco-francés. Se trata en ambos casos de una prolongación de España y en concreto del País Vasco desprovista de los accidentes menos amables de nuestra vida cotidiana. La manifestación de la opinión portuguesa nos pone a los españoles en deuda con una sociedad que nos recuerda nuestra viabilidad como Estado y como nación. Es necesario mantener entre nosotros un iberismo débil, interesado en incrementar las relaciones de todo tipo con Portugal. Si este iberismo débil puede transformarse en la recuperación de un iberismo fuerte, lo tendrá que decir el tiempo y la sociedad portuguesa. Pero, de momento, la sociedad española tiene que agradecer a la portuguesa esta confianza puesta en el futuro de España.

Andrés de Blas Guerrero es catedrático de Teoría del Estado de la Universidad Nacional de Educación a Distancia.


 :mala:
"Portugal civilizou a Ásia, a África e a América. Falta civilizar a Europa"

Respeito
 

*

papatango

  • Investigador
  • *****
  • 8231
  • Recebeu: 1327 vez(es)
  • +6487/-1393
(sem assunto)
« Responder #417 em: Outubro 24, 2006, 06:13:03 pm »
Citação de: "garrulo"
Recurrir a los tribunales portugueses les parece la razon de la fuerza?
¿TAN POCO CONFIAN EN LA LEY Y SU JUSTICIA?
les da miedo la ley, se puede presumir que ,a quien eso pasa es un delincuente.


Não há nenhum medo de nada senhor garrulo.

O que há é uma constatação:
A utilização do sistema judicial, como forma de meter medo às pessoas, porque a sua referência é também uma forma de pressão.

Não é o perigo de violar qualquer lei que está em causa, mas sim a demonstração de que os castelhanos são capazes de inventar insultos, para depois pedirem punição.

O Sr. garrulo está infelizmente entre as pessoas que eu considero indesejáveis neste fórum.

É triste, mas a cada palavra e a cada afirmação, fico com uma imagem pior dos espanhóis.

Como participante deste fórum, estou infelizmente convencido que a presença de espanhóis ligados ao franquismo espanholista-nazista, e nacionalistas-socialistas, ligados ao ibérismo é um factor que tem como único objectivo criar problemas e atritos entre portugueses e espanhóis.

O desprezo e a ridicularização da nossa História, como vimos no caso do participante Sierra002, são apenas uma das formas de criar problemas.

Nós somos por natureza pessoas tolerantes, abertas democráticas e bem educadas, mas há limites.

E quando os castelhanos, insultam a História de Portugal, esse é para mim um limite que não lhes pode ser permitido.

Aliás: não será permitido!!!

Cumprimentos
« Última modificação: Outubro 24, 2006, 06:19:52 pm por papatango »
É muito mais fácil enganar uma pessoa, que explicar-lhe que foi enganada ...
Contra a Estupidez, não temos defesa
https://shorturl.at/bdusk
 

*

Lancero

  • Investigador
  • *****
  • 4217
  • Recebeu: 88 vez(es)
  • +74/-5
(sem assunto)
« Responder #418 em: Outubro 24, 2006, 06:15:12 pm »
"Portugal civilizou a Ásia, a África e a América. Falta civilizar a Europa"

Respeito
 

*

garrulo

  • Perito
  • **
  • 531
  • +0/-0
(sem assunto)
« Responder #419 em: Outubro 24, 2006, 06:20:01 pm »
Se debe recurrir a la ley,cuando las normas de funcionamiento de una entidad privada no se aplican.
Cuando un moderador que tendria que ser alguien sensato en sus expresiones y juicios es quien a traves del insulto ,fomenta la xenofobia y el racismo.
Si fuera usted una persona de bien, dimitiria de un cargo que se le hace grande y al que ensucia.
España tiene el 107% de la renta de la UE, Portugal el 75%, entramos al mismo tiempo. No seremos tan tontos.