CARTA DE INFORMAÇÕES ECONÓMICAS ESTRATÉGICAS INTERNACIONAIS

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CARTA DE INFORMAÇÕES ECONÓMICAS ESTRATÉGICAS INTERNACIONAIS
« em: Outubro 10, 2010, 04:13:09 pm »
Muito interessante para as pessoas que sabem ler francês.

http://www.editions-delacroix.com/libra ... l?c70.html


LETTRE D’INFORMATIONS
ECONOMIQUES STRATEGIQUES
INTERNATIONALES
Numéro 215 30 septembre 2010



Le 9 septembre 2010, une très forte explosion est survenue dans un quartier de la ville de San Bruno,
dans la banlieue sud de San Francisco, près de l’aéroport. Jeanne Porcelli, un témoin de 62 ans qui vit
sur une colline surplombant l’incendie, dit qu’elle a entendu « un avion dont le moteur était en difficulté,
puis l’explosion est survenue. Ce n’était pas du tout un tremblement de terre ». La violence de l’explosion a été
telle que, selon Christopher Hart, le vice-président de l’agence américaine de la sécurité des transports
(NTSB), il existe un énorme cratère de 51 mètres de large ! Pour expliquer l’importance de
l’explosion, Ed Hornung, un témoin, ajoute : « C’était si fort que j’ai pensé à une explosion nucléaire »1. Les
autorités ont immédiatement imposé une chape de plomb sur l’identification de l’avion entendu par
plusieurs témoins, et ont évoqué la rupture d’une conduite de gaz. Or selon la compagnie de gaz "Pacific
Gas & Electric", responsable du réseau, aucune conduite de gaz majeure n’est située au lieu de l’explosion, et donc ne pouvait provoquer de tels dégâts. Réplique immédiate du pouvoir fédéral :
l’enquête est confiée à la NTSB et elle pourrait durer jusqu’à dix-huit mois ! Dans le même temps, tandis que
les chaînes de télévision américaines montraient les images d’une partie de la ville de San Francisco en
flammes, un analyste américain signalait que les services secrets du GRU avertissaient que les satellites
russes positionnés au-dessus de l’Amérique du Nord avaient perçu le signal de déclenchement d’un missile
antiaérien IR portable 9K34 Strela-3, qui a (selon ce rapport) frappé un avion sur la zone où s’est produit le
drame. Les Russes envisagent comme une « forte probabilité », qu’il s’agit d’une mesure de représailles
contre la décision du prédicateur américain Terry Jones de brûler des exemplaires du Coran le 11 septembre
2010. Sur la chaîne CNN, le pasteur explique avoir reçu un appel téléphonique du Secrétaire d’Etat à la
Défense, très préoccupé à ce sujet3. Le président Obama avançait : « Cette décision nous rend
vulnérables et pourrait entraîner des explosions dans nos villes et en Europe… ». Les Russes évoquent
encore qu’il pourrait s’agir d’une vengeance suite à l’assassinat de civils afghans par des soldats
américains. Les réseaux islamistes fondamentalistes n’ont pas oublié les propos insensés exprimés par le
général James Mattis, déclarant le 10 juillet 2010 : « C’est amusant de tirer sur des gens » en Afghanistan.

Autre piste relevée par les analystes du GRU : l’alliance des cartels de la drogue du Mexique contre les Etats- Unis après les déclarations de la Secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton, laquelle a menacé les narcoterroristes d’une attaque prochaine des troupes américaines. Bref, si la version de la Maison Blanche est assurément un mensonge sur l’origine de cette explosion6, il est à ce jour impossible de valider la version des services secrets russes.

Il a été désigné par la Maison Blanche pour remplacer le général David Patreus au poste de chef du US Central Command.


On ne peut toutefois s’empêcher de relever que la Maison Blanche adopte la même ligne de conduite médiatique qu’à
l’époque du 11 septembre 2001 : les autorités fédérales avaient alors annoncé qu’un avion s’était écrasé sur le
Pentagone alors que les Russes affirmaient posséder, via leurs satellites, des preuves en images qu’un missile avait
explosé sur les bâtiments du Pentagone. Le journaliste T. Meyssan avait alors publié son ouvrage L’Effroyable
imposture : un succés qui dynamita la version officielle. Après avoir révélé les liens discrets entre Nicolas Sarkozy et la CIA, le même journaliste est aujourd’hui protégé, au Liban, par les services secrets russes et le Hezbollah. Lors d’une interview,
LIESI relève que la veille, le 8 septembre, les autorités colombiennes ont annoncé qu’une météorite (une
énorme boule de feu géante) était « tombée du ciel dans les départements de Santander, Colombie
centrale, provoquant une énorme explosion qui a laissé un cratère de 100 mètres de diamètre en s’écrasant sur
terre ». Une autre météorite, plus petite, serait tombée au Brésil le même jour. Lorsque l’explosion s’est
produite en Colombie, « des hélicoptères de l’armée colombienne ont reçu l’ordre de survoler la zone pour
tenter de localiser la source de l’explosion ». Il se peut très bien que le phénomène survenu dans la banlieue
sud de San Francisco soit également la conséquence d’une météorite. Aujourd’hui, plus que jamais, ni la Maison Blanche ni le Kremlin (pas plus que le Vatican) ne souhaitent ébruiter d’informations sur les futurs dangers en provenance du ciel. Si depuis quelques années le Pentagone et Hollywood s’emploient à produire quelques films ayant vocation à attirer l’attention du spectateur sur des scénarios cataclysmiques en provenance du ciel, on le rassure toujours sur les capacités technologiques de l’Homme-Dieu à déjouer de telles menaces. D’un côté, l’on sait que de tels films ne sont nullement anodins puisqu’ils préparent les gens à une réalité future ; de l’autre, il n’existe aucune information de sources autorisées sur des faits pourtant connus de quelques initiés ! Ces sources autorisées ont même décidé, il y a un an, de
classer confidentielles/défense certaines informations de la NASA en provenance du ciel. Là aussi, la clé de
tous ces mystères a un rapport plus que ténu avec le troisième secret de Fatima. C’est pourquoi LIESI évoque la complicité de l’exécutif du Vatican dans cette affaire, s’agissant d’un acteur clé du dispositif mensonger entretenu sur le sujet, que nous développerons au moment opportun.
 
Des dérèglements climatiques en série.

Cette année, le nombre de pays qui furent confrontés à des sécheresses où à des inondations cataclysmiques
est impressionnant : Russie, Chine, Pakistan, Thaïlande, des froids mortels en Amérique du Sud, etc., et la liste s’allonge encore avec les récents événements survenus au Mexique. Ces événements sont-ils naturels ? Il est impossible de répondre avec certitude à cette question, comme il serait présomptueux d’affirmer qu’ils sont indubitablement provoqués par le
complexe militaro-industriel américain, via le programme HAARP. Le doute subsiste tout de même,
T. Meyssan a expliqué qu’il avait quitté la France dès la fin du mandat Chirac, après avoir été informé de la volonté de certaines personnalités politiques françaises de le supprimer. surtout depuis les aveux de Z. Brzezinski, affirmant
dans son livre Entre deux Ages7, que le complexe militaro-industriel possède l’ARME CLIMATIQUE : « La
technologie mettra à la disposition des grandes nations des procédés qui leur permettront de mener des guerres furtives, dont seule une infime partie des forces de sécurité auront connaissance. Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d’un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l’espace et du climat ont remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs ».
Selon plusieurs scientifiques, l’arme climatique est fonctionnelle depuis 1995. Comme nous avons déjà eu l’occasion de le dire dans le cadre de cette lettre confidentielle, début décembre 1999, nous fûmes pour notre part avertis de la tempête de fin décembre 1999, par une source qui venait de participer à une réunion classifiée à l’ambassade américaine8. Pas étonnant que les météorologues n’aient rien vu venir. Personnellement, il nous est absolument impossible de nier l’existence d’une telle arme climatique. Parler d’arme climatique est d’ailleurs tout à fait approprié si l’on se souvient du contexte de l’époque. Notre source avait insisté sur l’exigence américaine de briser la résistance française sur la question des OGM (organismes génétiquement modifiés). Et curieusement, juste après la tempête de fin décembre
1999, la politique du gouvernement Jospin en cette matière a connu un revirement brutal. En effet, à partir de l’année 2000, le gouvernement français n’a pas eu d’autre solution qu’une discrète capitulation face à la politique agressive américaine en matière d’OGM. Avant la tempête de décembre 1999, le gouvernement
français affirmait la primauté du politique sur......

Selon cette source, un retraité de haut niveau des services
secrets américains, également proche du conseil exécutif de
la Commission Trilatérale, cette réunion s’était déroulée en
deux temps. La première partie fut orientée sur l’arme
climatique et la planification d’une énorme tempête en fin
d’année, tout particulièrement sur la France. Plusieurs
notoriétés du complexe militaro-industriel étaient présents
ainsi qu’un représentant de quelques familles du cartel
bancaire. La seconde partie de la réunion fut centrée sur la
cancérisation de la chaîne alimentaire. Les plus grands
chimistes de Wall Street et des firmes agroalimentaires firent
ensuite leur entrée, nous a-t-elle dit, et l’on discuta de la
manière de liquider le plus adroitement possible les
populations occidentales au moyen des OGM, de la
cancérisation de la chaîne alimentaire, d’irradier des champs
de coton afin de faciliter le développement de cancers de la
peau au moyen des vêtements, etc.
 

 

3
l’économique et réussissait à faire entendre sa voix au
sein de l’Union européenne sur le dossier des OGM,
contribuant d’ailleurs à l’échec des négociations de
l’OMC, à Seattle. Plus, en 1998, la France se retirait
des négociations de l’AMI (Accord multilatéral sur
l’investissement), provoquant l’échec de ce projet clé
du processus de mondialisation. Dans les semaines qui
suivirent la guerre climatique de fin décembre 1999, ce
même gouvernement français déclarait que « le rôle de
l’Etat n’est pas d’intervenir dans les affaires
économiques privées, même lorsque des
délocalisations d’entreprises provoquent des
licenciements massifs ». En outre, le gouvernement
français autorisait les cultures d’OGM dans le cadre de
la recherche scientifique. La France acceptait
également la modification de l’article 133 du Traité
d’Amsterdam en vue de permettre à la Commission
européenne de négocier les futurs accords
multilatéraux du type de l’AMI à la place des Etats.
Inutile d’ajouter le fait que l’abaissement des
prétentions de la France se manifeste à quelques mois
seulement des événements du 11 septembre 2001.
Cela dit, pour en revenir aux bouleversements
climatiques que l’on connaît depuis quelques mois, il
est objectivement impossible de ne pas retenir le
scénario d’un dérèglement climatique général.
N’oublions pas ce que disait Bossuet : « Quand
l’homme se révolte contre Dieu, la nature prend le
parti de Dieu pour punir l’homme ». Dans son
précédent numéro, LIESI avait évoqué les inquiétudes
du physicien italien, le Dr Gianluigi Zangari. Ses
derniers résultats lui permettent de conclure que
l’énorme quantité de pétrole déversée dans le Golfe du
Mexique y a provoqué l'arrêt de la boucle du Loop
Current. Plus, cela a abouti à freiner dramatiquement
la vitesse du Gulf Stream (le courant de l’Atlantique
Nord), à une réduction de la température des eaux
dans l’Atlantique Nord. Que se passe t-il concrètement
dans le Golfe du Mexique (où la moitié du fond est
couvert de pétrole) et dans l’océan Atlantique ?
L’ensemble de la « rivière d’eau chaude » qui s’étend
des Caraïbes jusque sur les bords de l’Europe de
l’Ouest se meurt à cause du Corexit que
l’Administration Obama a permis à BP d’utiliser pour
cacher l’ampleur de la catastrophe pétrolière du
Deepwater Horizon de BP. Le Dr Gianluigi Zangari est
catégorique : « Cette énorme quantité de pétrole brut
recouvrant une zone aussi immense a sérieusement
affecté les systèmes actuels du Loop current (vers le 18
mai), du Gulf Stream et de l’Atlantique Nord, en brisant
les limites des couches du flux d’eau chaude ».
Comme le Gulf Stream est capital dans le processus de
thermorégulation du climat mondial, ce point doit être
surveillé de très près. Des scientifiques polonais
commentent ainsi cette actualité, soigneusement
occultée par les grands médias : « Le Gulf Stream
fonctionne comme un radiateur pour le Nord de
l’Europe. Sa disparition, voire même un léger
ralentissement, peut provoquer une vague de froid
catastrophique sur l’Europe. […] A cause de ce qui est
survenu dans le Golfe du Mexique, la situation
climatique pourrait changer brutalement. Une partie du
pétrole est passée de la mer des Caraïbes à l’océan
Atlantique, ralentissant le Gulf Stream, qui transporte
alors moins d’eau chaude ». Certains physiciens
affirment déjà : « La chaleur et la sécheresse extrême
en Russie, les inondations en Asie, les froids mortels
en Amérique du Sud, etc., tout cela a un rapport avec la
catastrophe de BP ». Mais, étonnamment, ces derniers
mois, l’Europe de l’Ouest et les Etats-Unis n’ont pas
eu à souffrir de tels dérèglements climatiques (du
moins pour l’instant, il faudra attendre l’hiver), ce qui a
d’ailleurs permis d’éviter une catastrophe
alimentaire au niveau mondial. Plus, les Etats-Unis
ont réalisé une excellente récolte céréalière.
Si l’on prend en considération la thèse de catastrophes
naturelles (pas toujours naturelles), il faut souligner que
cela entre dans le cadre du scénario développé par
LIESI depuis plusieurs années et fondé sur une grave
crise alimentaire, laquelle accompagnera la débâcle
sur la courbe de l’emploi. L’année prochaine, nous
expliquerons dans quel contexte elle surviendra, mais
comprenons que nous sommes en SURSIS.
D’aucuns pourraient dire que LIESI exagère. Sachez
que ce n’est pas le cas, et parmi les informations que
nous possédons, nous ne publions que celles
publiables dans le contexte de dictature actuelle.
Les citoyens américains
sont devant un gouffre.
Bien évidemment, ces confidences sont contraires au
message réconfortant des moulins à propagande qui ne
cessent de travailler l’opinion dans le sens d’une
reprise toujours « imminente » et d’une meilleure
situation des banques alors que ces dernières sont
dans une situation de quasi-banqueroute. D’aucuns se
refusent même à voir les comparaisons flagrantes entre
la crise générée par le cartel bancaire dans les années
1920-30 et son déroulement jusqu’au déclenchement
de la Seconde Guerre mondiale avec les étapes de
l’actuelle crise, conduisant vers une Troisième Guerre
mondiale (l’attaque de l’Iran sera le catalyseur).
Aujourd’hui, les gouvernements évoquent la nécessité
d’une politique budgétaire restrictive. Mais qu’ont fait
les Etats-Unis en 1937 ? En 1937, l’administration
américaine s’était résigné à une politique budgétaire
restrictive. Selon les calculs réalisés par Paul van den
Noord, ce choix du gouvernement fédéral s’est traduit
par un retrait de 3 points de PIB. Les résultats ne se
sont pas fait attendre : la croissance a ralenti, passant
de 13 % à 6 %, puis le PIB a chuté de 4,5 % en
1938, faisant remonter le chômage de 14 % à près de
20 %. Aujourd’hui, pour le FMI (c’est donc officiel) : le
total du resserrement budgétaire programmé pour2011 se soldera par 11,5 points de PIB pour les
pays avancés du G20. Les gnomes du cartel bancaire
nous répliquent le même scénario et les stars de
l’économie ne voient rien ! A un bémol près :
Dominique Strauss-Kahn annonce que la banqueroute
vient à la vitesse d’un cheval au galop et annonce une
forte progression du chômage. Le Fonds monétaire
international et l’Organisation internationale du travail
(OIT) viennent de publier une évaluation sans
concession des perspectives de l’emploi au lendemain
de la crise financière mondiale. Chacun appréciera la
sémantique du discours : « Nous percevons désormais
les signes d’une reprise fragile, mais pour des
millions de personnes et d’entreprises à travers le
monde la crise est loin d’être terminée. […] Si
l’emploi ne redémarre pas, la reprise ne se
matérialisera pas du tout. Depuis 2007, il y a une
trentaine de millions de chômeurs de plus dans le
monde — et les chiffres ne semblent guère devoir
reculer prochainement ». Il faut encore relever cette
perle : « De manière générale, la majorité des pays
avancés ne devrait pas durcir les politiques
budgétaires avant 2011, car un tel resserrement
risquerait de compromettre la reprise ». Mieux vaut
ne pas commenter. L’OIT dresse ensuite un sombre
bilan de l’emploi à l’échelle mondiale : 210 millions de
sans-emploi — chiffre sans précédent — et 80 % de la
population mondiale sans accès à un dispositif de
protection sociale. Elle ajoute que « malgré les
avancées impressionnantes de ces dernières années,
1,2 milliard d’hommes et de femmes, soit 40 % de la
population active mondiale, ne gagnaient toujours pas
assez pour se maintenir, eux et leur famille, au-dessus
du seuil de pauvreté de 2 dollars par jour en 2008 ». La
solution proposée par les fonctionnaires des
programmes génocidaires du cartel bancaire est sans
surprise : « Il faut agir collectivement… Une réforme
monétaire mondiale devient urgente ! » Cela fait des
années que LIESI a percé à jour leur plan et nos
premiers lecteurs ont triplé leur patrimoine en se
plaçant sur les métaux précieux (le Napoléon est passé
de 60 à 190 €).
Interrogé sur cette crise totalement orchestrée (des
oligarques de l’Ouest l’ont en effet annoncée sans gêne
au cours des années 1990), Andrew Hitchcock,
l’historien des Rothschild, a confié que « si un
effondrement de l’économie mondiale s’ensuit, et que
des pays manquent à rembourser leurs prêts, la
Banque mondiale pour la conservation va engloutir les
autres banques et saisir les parcs nationaux, les
ressources naturelles, les terres agricoles et les forêts
du monde entier ». « En ce sens, ce qui se passe au
Golfe du Mexique n’est pas anodin. Je rappelle que
BP est en quelque sorte sous la coupe du groupe
Rothschild ». Un ancien membre de l’agence de
communication de la Défense américaine, qui a
demandé l’anonymat, confie : « En 1987, Edmond de
Rothschild a créé la Banque mondiale pour la
conservation [rebaptisée Fonds pour l’environnement
mondial en 1991]. Cette institution a été créée pour
ramasser les morceaux après l’effondrement de
toutes les grandes banques. Vous l’ignorez, mais
pour continuer à obtenir des prêts, les pays utilisent
leurs terres comme garantie. Quand les banques
s’effondreront pour de bon, entraînant les Etats avec
elles, cette super-banque Rothschild émergera pour
prendre possession des terres dans le monde entier. Il
s’agit d’un plan intergénérationnel d’appropriation
juridique de la planète. Tout a été préparé en vue d’une
crise terrible, d’une faillite des banques, des Etats qui
après être venus à leur secours, se sont très endettés
sur les marchés internationaux (au cartel bancaire,
Ndlr). Par l’explosion du crédit et la complicité des
responsables des Etats, les entreprises et les pays
seront acculés à la faillite. Leurs actifs papiers sans
valeur seront manipulés et détruits afin de saisir les
avoirs tangibles des pays : leur terre et leur sous-sol ».
L’analyste financier George Hunt a démasqué pour la
première fois la Banque mondiale pour la conservation
il y a deux décennies.
 
D’un côté, le président Obama annonce la reprise
économique, de l’autre G. Soros (valet des Rothschild
après avoir été celui des Rockefeller) annonce un
déclin important de l’économie américaine pour les
prochains mois. Quant à Gerald Celente, il est encore
plus explicite : « C’est l’été de la plus grande
récession ». Plusieurs sources d’information
américaines avouent que le taux de chômage vient
d’exploser le niveau des 20 % et qu’un Américain
sur sept souffre maintenant de l’effondrement
économique. Les citoyens américains remarquent que
dans leur quartier, des familles ne sont plus là !
Depuis juin 2010, on estime à plus de 41
millions le nombre d’Américains qui se
nourrit au moyen de bons alimentaires (le
chiffre a doublé depuis 2007) et ce chiffre
dépassera les 49 millions au 31 décembre
2010. L’agence d’information américaine Associated
Press vient d’annoncer : « 2009 a été l’année qui a
connu le fort taux de développement de pauvreté
aux Etats-Unis. Concernant la pauvreté par
habitant, les Etats-Unis occupent désormais le
troisième rang parmi les pays développés ». Près
de 51 millions d’Américains n’ont plus d’assurance
santé. Les Etats-Unis sont en train de devenir une
nation où la pauvreté se généralise avec célérité. C’est
cela la REPRISE à la sauce Obama ! Lors de l’élection
de Barack Obama, LIESI, contre vents et marées, avait
affirmé qu’il serait pire que G. Bush. Avec sa réforme
sur la santé, Obama s’est directement inspiré de la
politique génocidaire des nazis. Mais la presse de
l’Ouest, qui vit sous la dictature des démoncrates, s’est
bien gardée de l’avouer. Et avec le sieur Obama, le pire
est à venir pour 2011.
 
A la lumière de ces informations, chacun comprendra
pourquoi les banquiers ont intérêt à faire monter les
marchés financiers avant un effondrement vertigineux.
Les banques ont spéculé sur la faillite des Etats-nations,
les banques lâchent les entreprises en leur
coupant le crédit. La finance qui devait être au service
de l’économie et du bien commun est devenue
l’instrument de domination et de torture du citoyen. Le
cartel bancaire a utilisé les banques comme cheval
de Troie pour couler les Etats-nations, et tout cela a
été opéré par la veulerie d’une classe politique
pourrie par l’argent, l’orgueil et la luxure. Les chefs
d’orchestre de la Haute finance pratiquent une forme de
terrorisme dont les actions consistent à dynamiter
toutes les structures dites sensibles pour la survie de
n’importe quel Etat, à un moment jugé opportun.


Du moins pour un mondialiste comme Michel Rocard,
l’homme des sociétés secrètes américaines, qui a
déclaré à une conférence prononcée cet été lors de
l’université du Medef : « L’urgence est qu’il va falloir
finir par tomber d’accord pour dire que les
souverainetés nationales ont dépassé leur stade
d’efficacité, elles entrent dans la période de la
nuisance ». Au moins M. Rocard, comme son ami
DSK, montre aux yeux de tous que le socialiste pur jus
est encore plus proche du cartel bancaire que ne le
sont les sarkozystes, lesquels se suicident
politiquement avec maladresse et sans aucune dignité.
Vers une catastrophe alimentaire
Récemment, nous avons interrogé notre source proche
du cartel bancaire au sujet de la similitude entre les
cataclysmes climatiques et l’accélération de
l’effondrement économique des Etats-Unis (qu’elle
nous a annoncé en février dernier pour le printemps
2011). Voici sa réponse : « Pour ma part, ces nouvelles
sont plutôt inquiétantes pour les Etats-Unis. Je dirai
qu’elles augurent d’une année 2011 très dangereuse
pour le complexe militaro-industriel. Comprenez que
jamais l’establishment américain ne consentira à
couler sans engager au préalable tous ses
concurrents vers la ruine. De mon point de vue, les
signes d’une accélération de l’effondrement du dollar
s’accumulent et les cercles que je fréquente
échafaudent pas mal de choses pour le printemps
2011 ». Lorsque cette source évoque ces cercles
dirigeants, elle désigne l’exécutif de la Commission
Trilatérale et du Groupe Bilderberg.
Il faut être aveugle pour ne pas relever, en effet, que
les mêmes forces financières qui ont déclenché
l’actuelle crise au cours de l’été 2007, sont aussi
celles qui financèrent l’ARCHE VEGETALE dans le
grand Nord, avec des semences non
génétiquement modifiées9. Pourquoi a t-on agi en ce
sens si ce n’est en vue d’une immense catastrophe
pouvant débuter par une famine mondiale ? Il semble
que les mêmes forces financières à l’oeuvre pour
organiser une crise financière systémique ainsi que la
faillite de l’actuel système monétaire international, sont
également celles qui cherchent à se protéger d’une
prochaine famine mondiale, jusqu’à se creuser des
abris souterrains en phase terminale de construction…
dans le courant de l’année 2011.
Aux Etats-Unis, le contrôle de l’approvisionnement
alimentaire doit être remis au ministère de la Sécurité
Intérieure (DHS). A cet effet, le projet de loi S.510 sur la
modernisation des aliments emploie 41 fois les mots
« sécurité intérieure ». En janvier 2010, Michael R.
Taylor a été nommé sous-commissaire pour la question
alimentaire à la FDA. Point anecdotique, il a travaillé
pour Monsanto. Rappelons que dès 2008, un rapport
du Pentagone avertissait qu’il fallait s’attendre à une
catastrophe climatique planétaire qui provoquerait la
mort de millions de vies, tant par la guerre, la famine,
que des désastres naturels ! Les militaires américains
prédisaient une catastrophe en Angleterre, de
grandes sécheresses, des émeutes à travers le monde
entier. Pour Peter Schwartz, consultant à la CIA et
chef de la planification chez Royal Dutch/Shell
Group, et pour Doug Randall de la société
californienne Global Business Network : « Les
changements climatiques doivent s’élever au-delà
du débat scientifique et devenir un sujet de
préoccupation de la sécurité nationale ». Dans la
foulée, suite à la récente crise alimentaire de
2007/2008, qui s’est traduite dans de nombreux pays
par les émeutes de la faim10, la communauté
9 Pour le moment, nous entendons seulement parler de
manipulation génétique. D’aucuns s’interrogent : la
manipulation génétique n’est-elle pas une agression directe
contre le pain quotidien, que l’on demande au Créateur en
récitant le Notre Père. R. Powell écrit : « L’aliment
génétiquement manipulé, c’est la tentative de mettre en oeuvre
un aliment inversé au lieu de l’aliment correct. Avec l’aliment
inversé, on désigne le principe qui consiste à prendre ce qui
est d’origine divine et à le manipuler de sorte qu’il soit inversé,
tout en ayant malgré tout l’apparence de l’original. C’est le
principe de la réalité virtuelle transposé dans le domaine
organique. Le même principe que l’on retrouve en matière
d’économie ». C’est un procédé typiquement diabolique.
10 La Finance au service du plan des famines… En 1789, les
banquiers de l’époque détournèrent le blé destiné aux
Parisiens tout en finançant les libelles de philosophes à deux
sous. Le peuple eut faim, les auteurs à deux sous accusèrent
le roi Louis XVI et la Révolution fut déclenchée à l’aide de
quelques meneurs, grassement payés par les banquiers qui
tenaient les loges maçonniques britanniques.
Aujourd’hui, un scénario identique se prépare à l’échelle
mondiale. Il doit être joué quand la crise économique sera
dans sa phase la plus aiguë. En attendant, on assiste à des.....

La presse internationale a justement fait preuve d’un regain
d’intérêt pour la sécurité alimentaire mondiale. A tel
point qu’aujourd’hui la notion de sécurité alimentaire
revient dans le champ de préoccupation politique,
comme en témoigne le dernier rapport d’Olivier de
Schutter (Rapporteur spécial des Nations unies pour le
droit à l’alimentation), la résolution McGuinness du
Parlement européen, votée le 13 janvier 2009, ou
encore le discours du Président de la République N.
Sarkozy sur l’avenir de l’agriculture, prononcé le 19
février 2010 à Daumeray. Tous citent ou articulent leur
réflexion autour de ce concept clé : évaluer l’état de la
sécurité alimentaire mondiale car c’est le grand
sujet stratégique de demain. Il n’y a pas de fumée
sans feu.
Une grosse arnaque des militaires
américains ou un flair extraordinaire ?
Comme par hasard, l’une des hypothèses retenues
pour l’étude réalisée pour le Pentagone (en 2008)
par Peter Schwartz et Doug Randall est un arrêt de
la circulation thermohaline dans l’Atlantique,
notamment du Gulf Stream. De ce risque bien
connu des climatologues, les consultants du
Pentagone extrapolent que la température chuterait
de 2,7 à 3,3°C, non seulement en hiver et en Europe
répétitions, de plus en plus nombreuses à l’approche du
terme. La flambée des prix alimentaires de 2006-2007 en est
l’illustration. Dans un premier temps, le programme HAARP a
permis de bouleverser le système climatique et l’on a assisté à
des déstructions ciblées de récoltes en divers points du globe.
Ensuite, la Haute Finance est intervenue sur les marchés
céréaliers avec des instruments spéculatifs pour booster les
cours des principales céréales. C’est ainsi que nous écrit un
lecteur banquier : « Fin 2006, les prix de la nourriture dans le
monde ont commencé brutalement à augmenter très
fortement. En un an le prix du blé est monté de 80 %, celui du
maïs de 90 % et du riz de 320 %. 200 millons de personnes,
essentiellement des enfants, ne pouvaient plus accéder à la
nourriture et il y a eu des émeutes dans trente pays. Puis au
printemps 2008, les prix sont mystérieusement retombés
en attendant la véritable offensive finale… »
Que se passe t-il aujourd’hui ? Assistons-nous à une autre
répétion dans un contexte plus inquiétant : menace d’une
guerre contre l’Iran, délitement de la classe politique
européenne et américaine, de nombreux foyers géopolitiques
proches d’un embrasement en chaîne, l’affaire du Golfe du
Mexique, etc. ? Nous le répétons car il faut bien en être
conscients : nous sommes tous en sursis et la clé demeure le
troisième secret de Fatima. Pas étonnant, dans ce contexte et
surtout cette perspective rapprochée, que l’exécutif du Vatican
soit de plus en plus dans ses petits souliers. Il ne pourra
absolument rien quand la Providence mettra au jour le grand
mensonge.
occidentale, mais dans l’ensemble de l’hémisphère
Nord. D’où une famine mondiale qui se
déclencherait et nécessiterait de la part des Etats-
Unis l’urgence de se protéger des revendications
des pauvres de la planète à vouloir se nourrir !
Mieux que cela, les auteurs du complexe militaro-industriel
peaufinent plusieurs scénarios et annoncent
pour 2010 un arrêt de la circulation thermohaline à la
sortie du Golfe du Mexique provoquant un
bouleversement climatique mondial et menant bien
évidemment à un dérèglement climatique généralisé
ainsi qu’à une série de mauvaises récoltes…
Il faut rappeler que ce rapport fut commandité par le
Secrétaire à la Défense américaine avec une question
précise : déterminer la manière de préparer
l’Amérique à l’Armageddon climatique. En cette
année 2010, LIESI ne peut que s’interroger sur la
synchronisation de deux éléments majeurs du
nouveau paradigme qui s’esquisse : premièrement,
l’Armageddon climatique prend, comme par hasard,
forme au moment précis, attendu par les rédacteurs
du rapport, en 2010 ; deuxièmement, la question du
dérèglement climatique survient quand les Etats-
Unis sont à bout de souffle, ne pouvant plus utiliser
l’arme monétaire ou les politiques de la Banque
centrale américaine pour illusionner encore une
masse d’acteurs bien trop crédules. Si cela relève du
hasard, c’est assez extraordinaire ! A défaut, chacun en
tirera les conclusions et comprendra qu’humainement, il
n’y a plus aucune issue.
Dernière information : l’exécutif de l’administration
américaine décide, avec le concours de la FEMA, de
décréter le mois de septembre 2010 comme le
début de la campagne de sensibilisation à la
perspective de catastrophes climatiques et
humanitaires…


« Quelle époque terrible que celle où les idiots dirigent
des aveugles ».
W. Shakespeare

Lettre d’Informations Economiques Stratégiques
Internationales – BP 18 – 35430 Châteauneuf (F)