[P44]

New Success for DCNS in Morocco
 
 
(Source: DCNS; issued Oct. 23, 2007)
 
   
 
PARIS --- In the course of French President Nicolas Sarkozy's recent state visit to Morocco, the Kingdom's highest authorities confirmed an agreement between the two countries to provide the Royal Moroccan Navy with a FREMM multi-mission frigate.  
 
This multi-mission front-line fighting ship will expand the Navy's operational capabilities, particularly for anti-air, anti-surface and anti-submarine missions. In addition to reduced crewing (a little over 100 officers and sailors), the ship will benefit from the many advances arising from the FREMM programme to produce a new generation of front-line vessels for the French Navy.  
 
Jean-Marie Poimbœuf, Chairman & CEO of DCNS, said: "We welcome the decision by Morocco's highest authorities in favour of the DCNS-designed FREMM frigate to modernise their fleet. Morocco is our first international customer for this new-generation vessel. This success opens up new business opportunities for this type of vessel as navies around the world seek to renew and modernise their fleets. Ongoing cooperation with Morocco is a key factor as we pursue development with new customers, particularly in the Mediterranean and the Middle East."  
 
The FREMM programme — Europe's most ambitious naval cooperation programme ever — calls for 27 multi-mission frigates for France and Italy. The 6,000-tonne vessels will be delivered in anti-submarine, anti-surface, anti-air and land strike versions to meet the client navies' specific needs.  
 
The FREMM frigates for the French Navy are being built under DCNS prime contractorship. These heavily armed ships will carry state-of-the-art weapons and systems including the Herakles multifunction radar, MU90 torpedoes and Exocet MM40 and Aster 15 missiles.  
 
The first French FREMM frigates are under construction at DCNS's Lorient shipyard. Other DCNS shipyards and plants are also contributing to the programme, along with a large number of partners and subcontractors.  
 
-ends-  
 
 
Fonte

[old]

Sarkozy en su viaje a Marruecos les ha vendido:

Un tren de alta velocidad entre Marraketh y Tanger (creo)
Una central nuclear
Un mega puerto en Tanger
Y la Fragata Freem

Ahora solo falta ver como pagan todo eso

[european]

Sarkozy en su viaje a Marruecos les ha vendido:

Un tren de alta velocidad entre Marraketh y Tanger (creo)
Una central nuclear
Un mega puerto en Tanger
Y la Fragata Freem

Ahora solo falta ver como pagan todo eso :roll:

[ferrol]

Making a huge debt is tha way for Morocco to have business with France...  

También se comentó en los periódicos que tal vez eso lo pagara en parte Arabia Saudita...

[P44]

Making a huge debt is tha way for Morocco to have business with France...  

También se comentó en los periódicos que tal vez eso lo pagara en parte Arabia Saudita...

Salvo erro tinha a ver com a escolha de F-16 para a Força Aérea de Marrocos, em detrimento dos Rafales

[Jorge Pereira]

Alguém sabe a localização prevista para a dita central nuclear?

Que nos dizem as nossas “antenas” em França?

[JoseMFernandes]

LE MONDE- 24/10/2007:

Une source proche du président Nicolas Sarkozy a indiqué, mercredi 24 octobre, que la France et le Maroc vont signer un "accord-cadre" de coopération en matière de nucléaire civil, d'ici à "quelques semaines". Selon cette source, un représentant de M. Sarkozy et un autre du roi Mohammed VI vont commencer à négocier cet accord "dès la semaine prochaine". Les discussions porteront sur le nombre et la localisation des futures centrales et la possibilité qu'elles servent non seulement à la production d'électricité, mais également à la désalinisation de l'eau de mer.

 
Mardi soir, Nicolas Sarkozy avait déclaré que la France et le Maroc avaient décidé de s'engager dans un "partenariat" dans le domaine du nucléaire civil. "La France veut accompagner les grands chantiers structurants que votre pays a lancés pour tirer le meilleur parti de son intégration à l'économie mondiale", avait-il expliqué lors d'un dîner officiel, au deuxième jour de sa visite d'Etat au Maroc. "Par-delà le projet de TGV (...), j'ai le plaisir d'annoncer que nous avons décidé de nous engager ensemble dans un autre grand chantier, un autre grand partenariat, celui de l'énergie nucléaire civile", avait-il poursuivi.

RÉSERVES MAROCAINES DE PHOSPHATES

Mardi matin, le chef de l'Etat français avait également souhaité voir le Maroc se doter d'"une filière nucléaire civile" en partenariat avec la France. "L'énergie du futur n'a pas vocation à être la possession exclusive des pays les plus développés dès lors que les conventions internationales sont partout respectées", avait-il insisté devant les députés marocains à Rabat.

Contrairement à l'Algérie, le Maroc n'a pas de gisements de gaz, mais possède des réserves de phosphates, lesquelles renferment de l'uranium.

LE FIGARO 22/10/07:

Le Maroc étudie la possibilité de confier à la France la réalisation d'une centrale nucléaire pour la production de l'énergie électrique " dans le sud-ouest du Maroc, a indiqué une source proche du gouvernement marocain(...)

Le groupe français a signé un protocole d'accord avec l'Office Chérifien des Phosphates (Maroc) pour une coopération "en matière de recherches dans le domaine de l'extraction de l'uranium à partir de l'acide phosphatique", fabriqué à partir des minerais de phosphates marocains.

 Pour faire face à la forte hausse de la consommation de l'électricité industrielle et domestique, le gouvernement marocain avait récemment fait part de sa décision de construire une centrale nucléaire. Areva et l'OCP étudient le lancement en commun d’une étude de faisabilité pour un site industriel de production d'uranium à partir d'acide phosphorique.

 « Les phosphates sont une ressource uranifère prometteuse, alors que le marché de l'uranium connaît un essor durable. Selon l'AIEA, les ressources d'uranium en sous-produit des seuls gisements de phosphates du Maroc avoisineraient les 6 millions de tonnes, soit deux fois plus que les ressources mondiales connues des gisements d'uranium »

LE NOUVEL OBSERVATEUR:

SARKOZY AU MAROC
"Le nucléaire civil, une arme financière et diplomatique"
Nicolas Sarkozy, qui a récemment tenu un discours à l’ONU sur le droit des pays en développement à disposer du nucléaire civil, multiplie les déclarations et les offres de coopération en la matière (Algérie, Lybie, mais aussi Iran… et maintenant le Maroc). Comment expliquer cette offensive de la part du président français ?

 
- Si Sarkozy cherche à vendre du nucléaire civil, c’est parce que les enjeux sont évidemment considérables sur le plan financier et diplomatique. Sarkozy sait que si la France ne défend pas sa part du gâteau sur ce marché considérable, ce sont les deux grands rivaux de Paris sur ce terrain, la Russie et les Etats-Unis, qui s’en empareront. Poutine a d’ailleurs déjà fait le tour des pays arabes pour vendre sa technologie nucléaire. L’enjeu est de taille car de la même manière que de nombreux pays, à commencer par l’Europe, sont dépendants de l’OPEP et de la Russie pour le pétrole et le gaz, de la même manière les pays auxquels nous vendons notre technologie nucléaire et notre fuel seront dépendants de nous. La dépendance est d’autant plus forte dans le nucléaire que chaque centrale requiert un fuel adapté, qui doit de ce fait provenir du même fournisseur que la centrale. Ce qui explique par exemple la dépendance de l’Iran vis-à-vis de la Russie et le fait que Moscou puisse faire pression sur Téhéran, comme il le fait en ce moment, en ne fournissant pas le fuel dont les Iraniens ont besoin. Et c’est parce qu’il y a peu de pays maîtrisant la technologie nucléaire qu’elle devient une arme diplomatique et financière aussi importante. Cette question de la suprématie des pays nucléaires sur les autres est d’ailleurs l’un des enjeux de l’affaire iranienne : les pays détenant la technologie ne veulent pas permettre à n’importe qui de briser leur monopole. Et d’où, a contrario, le fait que certains pays voient d’un bon œil les tentatives de l’Iran pour se doter de cette technologie.

 
Si se doter du nucléaire civil rend si dépendant des fournisseurs, pourquoi tant de pays, et en particulier des pays arabes, en font-ils la demande ?

 
- Pour plusieurs raisons. Cela peut être pour la désalinisation de l’eau par exemple, ou pour préparer l’après pétrole et gaz, lorsque ces ressources arriveront à échéance. Certains pays, comme l’Egypte et le Maroc, n’ont d’ailleurs ni pétrole ni gaz ou à peine. Vu le renchérissement du prix du pétrole ils ont besoin de ressources alternatives. En choisissant le nucléaire civil, ils ne feraient donc que remplacer une dépendance par une autre. Pour un pays en développement, se doter de centrales nucléaires apporte par ailleurs du prestige. Et quand il s’agit de dictatures, déguisées ou assumées, comme c’est le cas dans la plupart des pays arabes, l’acquisition de centrales nucléaires peut permettre de créer une fierté nationale renforçant le prestige des leaders, le tout aux dépens de la démocratie. Il est fort possible aussi que face à l’Iran, autrement dit aux Perses et chiites, les pays arabes et sunnites ne veuillent pas être considérés comme moins développés technologiquement. Il y a enfin les mauvaises raisons, que l’on peut subodorer : la tentation de pouvoir passer à terme du nucléaire civil au nucléaire militaire.

 
Donner la possibilité à ces pays de se doter du nucléaire civil ne représente-t-il pas un danger à long terme ?

- Selon les spécialistes du nucléaire, la menace potentielle de transformer à terme du nucléaire civil en arme militaire dépend du type de centrale qui est vendu. Le réacteur à eau légère est en général considéré comme moins dangereux. Mais la grande époque de la prolifération nucléaire des années 70, qui a vu de nombreux pays (Pakistan, Irak, Inde, Israël…) obtenir l’arme nucléaire en partie grâce à la France, est révolue. Aujourd’hui, si Sarkozy veut refourguer ses centrales c’est à la condition que les pays respectent les traités et les protocoles additionnels, et qu’ils s’engagent à ne rien cacher aux contrôles de l’AIEA. Le fait d’offrir à d’autres pays la possibilité de se doter du nucléaire civil peut être d’ailleurs aussi perçu comme une manière de montrer à l’Iran que dans le cadre des négociations on est de bonne foi. Le message adressé aux Iraniens est, en gros : vous voyez que si vous voulez du nucléaire civil, c’est possible, mais il faut respecter les conditions.

 
Interview de Vincent Jauvert par Sarah Halifa-Legrand

(le mercredi 24 octobre 2007)

Esperemos...
Cumprimentos

[Miguel]

Eu tinha avisado estes contratos 6 meses atraz :roll:

Quero que se lixem, a verdade e que estamos no ultimo lugar militar regional, e numa altura que se fala no fim da Belgica etc... por ca ainda acreditam na UE, no Futebol etc...

Nao somos governados, somos desgovernados porque assim quer o povo...

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Eu tinha avisado estes contratos 6 meses atraz :roll:

Só se já foste editar os posts onde afirmavas que os Rafale já eram um dado certo!!

Abraço