Au 1er janvier 2012, la France comptait 36 700 communes en métropole et DOM, dont 36 571 en France métropolitaine1.
Il s'agit (dans la quasi-totalité des cas)[réf. nécessaire] du découpage administratif ultime du territoire français et correspond généralement au territoire d'une ville ou d'un village. Si la commune peut être couverte par plusieurs cantons, elle ne peut faire partie que d'un seul arrondissement.
Une commune est administrée par un conseil municipal élu pour six ans, présidé par un maire.
Les trois communes les plus peuplées que sont Paris, Marseille et Lyon sont encore divisées en 45 arrondissements municipaux : 20 pour Paris, 16 pour Marseille et 9 pour Lyon. Ils n'ont rien de commun avec les arrondissements départementaux si ce n'est le nom et correspondent plutôt à des sous-communes, avec un maire et un conseil municipal d'arrondissement. Il y a une mairie par arrondissement en plus de la mairie centrale pour Paris et Lyon, respectivement 20 et 9, et Marseille est en fait découpée en 8 « secteurs » regroupant chacun deux arrondissements.
Certaines communes peuvent également couvrir plusieurs agglomérations, villages ou bourgs provenant souvent d'anciennes communes ou agglomérations trop peu peuplées ou trop isolées pour disposer d'une administration autonome, et regroupées avec une ancienne commune voisine plus importante. Elles peuvent aussi être issues de plans d'aménagement, par exemple dans les villes nouvelles, créées sur le territoire d'une ou plusieurs communes, ou dans les stations de montagne.
Há excepções, por causa da divisão nas comunas de grandes dimensões, que são divididas em «arrondissements municipaux».
Mas a freguesia é realmente o mais parecido que temos com a comuna.
Basicamente é a unidade mais pequena na administração (com as excepções notadas acima)
No nosso caso, em que temos uma tradição municipalista de séculos, o que precisamos é de facto de municipios fortes.
O presidente da câmara de Ribeira de Pena, se vier a Lisboa pedir alguma coisa para o seu municipio, é recebido depois da senhora da limpeza.
Os municipios têm que se juntar, criando entidades municipais, associações de municipios (o que seja).
Outra coisa que tem que mudar é a eleição dos governos municipais, para acabar com o disparate de todos os vereadores terem pelouro e de na prática dividirem o bolo por todos os partidos.
O mais normal seria um sistema presidencialista a duas voltas, em que escolhemos o nome do presidente da câmara.
Elegemos uma assembleia municipal e depois o presidente que forme executivo municipal para apresentar à assembleia.
Como está, é um disparate, que só dá jeito aos instalados.
Cumprimentos